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T'as fait des devoirs
- Le 09/11/2017
Les tâches à domicile, c'est rarement une partie de plaisir.
Comment motiver son enfant qui rechigne à se remettre à l'étude après une journée déjà bien remplie? Les conseils de Philippe Theytaz, coach en relations humaines et ancien directeur des écoles de Sierre.
Comment embobiner votre enfant
- Le 25/08/2015
C'est bel et bien le titre d'un ouvrage écrit par deux Américains pères de famille ( David Borgenicht & James Grace, Ed. Marabout). Rédigé sur le ton de l'humour, il fournit toutefois quelques sages conseils à l'usage des parents, se basant notamment sur quelques techniques de manipulations.
Sélection.
Pour qu'Il se brosse les dents
Faites comme si la brosse à dents était éléctrique, même si ce n'est pas le cas.
Mettez là << en marche>> en faisant un bruit de vibration pendant que vous les brossez.
Pour qu'il s'habille le matin
Faites de l'habillement une course:
<< vite, il faut que tu t'habilles avant que papa/maman te voie. Dépêche toi Il / elle arrive! >>
Pour qu'il avance dans la rue
Dites-lui: <<Crois-tu que tu puisses arriver au bout de la rue avant que j'ai fini de réciter l'alphabet?>>
Pour qu'il mette de la créme solaire
N'appelez pas le produit << créme solaire >>, mais << créme magique >> qui agit comme un bouclier protégeant du soleil.
Pour qu'il reste assis tranquillement
Grâce à un tour de magie, jetez un sort pour l'immobiliser le temps nécessaire.
Pour arrêter ses pleurs
S'il c'est fait un peu mal en se cognant, faîtes semblant de punir l'objet qui a causé sa douleur: << Table basse, comment as tu osé faire mal à ma petite fille? Excuse-toi tout de suite! >>
Pour qu'il range sa chambre
Faîtes la course: chronométrer le rangement.
Pour allez plus loin, lisez également:
- Obtenir sans punir. Les secrets de la manipulation positive avec les enfants. Christophe Carré, Ed. Eyrolles
- Devenez meilleur négociateur que vos enfants! comment améliorer ses relations avec sa progéniture . Laurent Comballert, EFS Editeur
Le cahier des devoirs
- Le 13/05/2014
Des signes qui devraient alerter les parents
L'enfant dit systématiquement qu'il a déjà fait ses devoirs ou qu'il n'en a pas. Il omet de les noter dans son carnet scolaire "agenda". Il oublie ses affaires, perd son matériel
Pour se justifier, il dit qu'il ne comprend rien aux énnoncés, que rien de tout cela n'a été fait en classe.
Faute d'un minimum d'anticipation, il se retrouve complétement surchargé et découragé.
L'adolescence, un cap difficile
Vers la 5éme ou 6éme (7e ou 8e Harmos), le rytme scolaire s'accélére. La préssion augmente. Rester à jour demande davantages d'efforts, les devoirs de concentration.
A l'inverse, les causes de distraction, des copains aux loisirs numériques, augmentent.
Les changements psychologiques et physiques propres à la puberté n'aident pas.
Parfois c'est justement à ce moment-là que les parents lâchent un peu du lest, pensant suffisament grand pour se débrouiller.
Quand faut-il recourir à une aide extérieure?
Lorsque le rapport de force s'installe, que l'ambiance familiale et la communication se dégradent. Bine sûr, si les problèmes scolaires s'accompagnent d'autres signes comme une déprime persistante, des douleurs somatiques, un sentiment d'isolement , il convient de demander l'aide du pédiatre, voire du psychologue ou du médiateur scolaire.
texte:Pierre Léderrey
Les parents pots de colle
- Le 17/02/2014
Ils gèrent le parcours scolaire et professionnel de leurs enfants, scrutent leurs loisirs et leurs fréquentations.
Les Américains ont nommé <<hélicoptères>> ces parents surimpliqués... Il y en a aussi en Suisse!
L'expression <<parents hélicoptères>> a fait son entrée dans Wikipédia, version anglaise, avec la montée en puissance de la génération <<millénium>> (les jeunes nés entre 1980 et 2000).
On la devrait à un adolescent évoquant à son psy une mère toujours en train de voltiger dans les parages afin de me surveiller, tel un hélico en vol stationnaire, prête à prolonger en piqué à la moindre alerte...
La notion a été propagé par les professeurs d'université quand la génération millénium s'est retrouvée sur les bancs des facultés, au tournant du siècle. Devenus parents, les babys-boomers se signalaient en téléphonant tous les matins à leurs enfants pour les réveiller, en se plaignant de leurs notes auprès des enseignants, en débarquant sur le campus ou lors des camps d'été, bréf en faisant preuve d'hyper-interventionnisme.
L'autonomie est désormais plus tardive. Les jeunes entrent plus tard dans la vie active: l'âge moyen du début d'apprentissage est passé de 16 à 18 ans. << on développe une relation parents-enfants qui n'existait pas auparavant, note jérôme Rossier spécialiste de l'orientation scolaire et professionnelle et professeur à l'institut de psychologie et de l'université de Lausanne. Les jeunes restent plus longtemps dans une situation de dépendance qui permet aux parents de s'ingérer >>.
Un enfant suroccupé et poussé vers la perfection risque de se sentir perdu.
<< Certains parents font des démarches professionnelles à la place de leurs enfants >>
Certains parents ont tendances à surinvestir les résultats de leurs enfants, observe Pierre-Andre Michaud, médecin-chef de l'unité multidisciplinaire de santé des adolescents au centre hospitalier universitaire Vaudois.
A force d'exercer un contrôle sur nos enfants, leur autonomie risque d'arriver sur le tard...
Aujourd'hui, les moins doués ne sont plus assurés de trouver un job. L'augmentation de la prescription de Ritaline témoigne notamment de cette angoisse parentale.
Les ados pensent qu'un portable, c'est la liberté, mais c'est aussi la meilleure manière de les suivre à la trace
Les téléphones portables sont souvent mis en cause pour avoir favorisé l'émergence des parents hélicos.
<< jusqu'à un passé récent, l'adolescence commençait quand les parents ne savaient plus à chaque minute où se trouvait leur enfant ni ce qu'il faisait >>, relève Pierrre-André Michaud.
L'irruption des portables a tout bouleversé: les ados pensent que c'est une liberté mais c'est aussi la meilleure manière de les suivre à la trace, une indépendance, un lien constant...
Quoi qu'il en soit , avec ou sans portable, le cap de l'adolescence - ce processus d'émancipation progressive qui implique de lâcher prise - a toujours été un grand défi pour les parents. A quel âge et selon quelles critères autoriser les sorties, l'alcool, la sexualité?
Un passage difficile à négocier, dans lequel la confiance est centrale.
Véronique ZBINDEN
Le syndrome de la mère poule ou la surprotection des enfants
- Le 13/02/2014
La « mère poule » : une drôle d'expression ...
Pour comprendre d'où provient cette expression, il faut remonter au Moyen Age. A l'époque, on attribuait un animal à chaque trait du caractère humain, et la femme était très souvent associée à la poule. Dès lors, la mère possessive a été qualifiée de mère poule, et cet usage verbal a perduré au fil des siècles...
Mais qu’est-ce qu’une mère poule ?
C'est une mère hyper protectrice, anxieuse et inquiète. Un rien l'angoisse : que son enfant aille à la boulangerie au coin de la rue ou en colonie de vacances, tout lui fait peur. Et plus l'enfant grandi, plus la peur augmente. Cette attitude n'est pas la meilleure des solutions car le parent exagère souvent les risques et les dangers potentiels du monde extérieur
De quoi les mères poules ont-elle si peur ?
Elles veulent tout simplement protéger leurs enfants d'un malheur. C'est pourquoi elles les conduisent à l'école, les emmènent chez leurs amis, les accompagnent aux activités extrascolaires car pour elles, la notion de liberté implique forcement des risques et des dangers. Chaque séparation est une source d'angoisse supplémentaire, alors elles essayent de garder leurs enfants auprès d’elle.
Les médias ont un rôle non négligeable sur le comportement des mères poules.
Les faits divers qui alimentent l'actualité contribuent à accroître l'angoisse des parents, ce qui est parfaitement compréhensible.
En quoi ce comportement peut-t-il être nuisible à l'épanouissement de l'enfant ?
Un enfant doit explorer et découvrir la vie. Les spécialistes sont unanimes :dès lors qu'il est surprotégé, deux cas de figures apparaissent assez fréquemment
Soit l'enfant a une vision biaisée de sa personne et se voit comme un incapable fragile et vulnérable, dévalorisé et désocialisé ;
Soit il se rebellera vis-à-vis de ses parents mais également de la société. Il vivra alors ses propres expériences, même les plus dangereuses.
Mais pas de panique ! Cela n'est pas une règle !
Pour y remédier…
Dès lors que la mère poule se remet en question et acquière motivation et volonté, elle peut tenter de se mettre à la place de l'enfant. Ainsi elle comprendra qu'il doit découvrir seul son environnement, pour s'adapter aux différentes situations auxquelles il sera confronté.
La discussion est primordiale dans ce genre de contexte. A travers cet échange, la maman va tenter de responsabiliser son enfant petit à petit et « lâcher du leste ». En échange l'enfant devra prouver jusqu'à quel point il peut se prendre en charge...
Enfin, pour la maman, il ne faut évidemment pas tendre vers l'effet inverse, c'est à dire négliger son enfant, ce qui pourrait le rendre tout aussi anxieux.
Si vous avez des interrogations, il est conseillé d'en parler à un spécialiste ou à d'autres mamans, sur le forum Magicmaman.
Pour aller plus loin dans ce thème : « Le syndrome de la mère poule » de Michael Ungal paru en 2007 aux Editions Marabout
Par Gina Tarlayan
Peur de l'examen
- Le 14/05/2013
Peur de l'examen
►POINT DE DÉPART
►LE PROBLÈME
►LES SOLUTIONS
►FINALEMENT
POINT DE DÉPART
Tu as sans doute autour de toi des copains qui arrivent aux examens tranquillement comme s'il ne s'agissait que d'une simple formalité. C'est particulièrement énervant si de ton côté tu as du mal à cacher que tu n'en mènes pas large : traits tirés, le ventre tourneboulé, les mains en sueurs, bref, la trouille.
LE PROBLÈME
Est-ce toi qui n'es pas très doué pour passer des examens ou bien eux qui sont vraiment très forts ? Il y en a de plus doués que d'autres, c'est évident : bonne mémoire, bonne organisation de travail, rapidité de compréhension ; et puis d'autres un peu moins flèche avec la tête comme une passoire, une lenteur de caméléon et un délicat foutoir dans la tête.
Mais on peut inverser le problème : des élèves très intelligents et aux grandes capacités intellectuelles peuvent très bien rater tous leurs examens parce que paralysés par la peur, alors que d'autres aux performances plus moyennes arrivent à s'en sortir très honorablement. Et ce qui fait la différence, c'est l'une des choses les plus difficiles à acquérir dans la vie : la confiance en soi.
Et ça ne se décrète pas : on a beau se persuader que l'on est le meilleur, que tout ce qui est entré dans la tête va ressortir, le moment venu c'est la déroute, la perte totale de ses moyens. L'ennemi dans ce cas-là, c'est le trac . Et pourtant le trac, c'est comme le stress , il est nécessaire : c'est grâce au stress que l'on se surpasse, et c'est grâce au trac que tu te mets dans le bain (regarde les comédiens sur scène, le trac ne les empêche pas de se surpasser, bien au contraire).
LES SOLUTIONS
Finalement, tu vois que pour réussir ses examens, il faut :
- Un peu d'intelligence,
- Une mémoire entraînée,
- Une bonne organisation,
- Une grande (pas trop quand même) confiance en soi,
- Un trac bien géré.
Pour cela, nous allons te donner à la fois des grandes lignes et des petits trucs.
Entraîner sa mémoire et s'organiser
Un examen, ça ne se prépare pas la veille, ce n'est pas comme une leçon ou un devoir. De la même façon, les examens importants que tu auras à passer (Bac, examens d'université ou de grande école, sans compter tous ceux que tu devras passer au cours de ta vie), c'est dès maintenant que tu dois commencer à les préparer. Cela veut dire, que c'est au cours de tes études secondaires que tu vas forger ta mémoire, acquérir une méthode de travail et une puissance de travail. Grâce à cela, lorsque tu auras à passer des concours et des examens importants, tu auras à ta disposition une mémoire entraînée et une capacité à travailler vite et longtemps.
Acquérir de l'intelligence
Il y a des tas de domaines dans l'intelligence : la capacité d'analyse, l'esprit de synthèse, la maîtrise de techniques ou d'outils, la capacité de rechercher des éléments dans sa mémoire, donc la culture, etc.
Tous ces domaines se travaillent et c'est l'un des buts de l'enseignement que tu reçois en classe, même s'il te semble parfois que cela ne te servira à rien pour plus tard. Par exemple :
- Les récitations, la géographie, l'histoire t'apprennent à structurer ta mémoire.
- Le français, la grammaire, l'orthographe t'apprennent à maîtriser l'analyse, c'est à dire d'ordonner les choses et de comprendre comment elles s'assemblent.
- Les maths, la physique, la chimie t'apprennent à maîtriser des outils intellectuels : le calcul, la compréhension des situations, la solution aux problèmes.
- L'histoire, les sciences naturelles, le français te donnent des éléments indispensables de culture générale qui te permettent ensuite de prendre des raccourcis intellectuels (solutionner un problème qui ne s'est jamais posé à toi, exposer clairement tes idées, structurer et alimenter ta propre création...)
- Finalement, tout cela veut dire que l'intelligence là aussi cela s'acquiert et s'entretient.
Acquérir de la confiance en soi
La confiance en soi cela s'acquiert d'abord par le regard des autres : si tu as de bonnes notes dans une matière (donc si ton professeur juge que ton travail est bon), ta confiance va s'améliorer dans cette matière. Et inversement si tu as de mauvaises notes. De même si tes parents ont confiance en toi, cela va accroître ta propre confiance en toi. Et vis à vis de tes copains ce sera pareil.
Mais cela s'acquiert aussi en ayant une bonne opinion de soi-même. Et c'est sans doute le plus difficile.
Gérer son trac
Certaines personnes disent ne pas en avoir et d'autres être totalement terrorisé avant une épreuve. de toute façon, c'est un état qui peut se gérer : on peut diminuer les effets du trac. Il y a pour cela le conditionnement psychologique et... certains médicaments.
FINALEMENT
Donc pour finir, si tu relis rapidement ces lignes, tu te rendras compte qu'un mot qui n'a pas été cité revient en fait constamment en filigrane : le travail.
Travailler ce n'est pas (que) faire plaisir à ses parents et ses professeurs ou pouvoir frimer avec un bon bulletin : c'est tout simplement apprendre à... apprendre.
Bon maintenant qu'on en a fini avec le cours de morale, on va passer au côté pratique : comment travailler efficacement et comment passer ses examens ?
Les devoirs scolaires et les parents
- Le 09/05/2013
Les devoirs scolaires et les parents
Il me semble utile et judicieux d’aborder en ce début de rentrée cet important volet de la vie scolaire de nos enfants : les devoirs à la maison. C’est un véritable casse-tête pour les parents qui perçoivent à tort les devoirs comme une grande source de stress pour les uns et une pure corvée pour d’autres.
Or, ce sont pourtant des moments de plaisir qu’on pourrait partager avec ses enfants. Il faut savoir que les devoirs donnés par les enseignants sont nécessaires pour consolider les apprentissages. Les parents avancent tout simplement le prétexte qu’ils sont débordés et manquent de temps. Ce qui est vrai, mais en partie seulement. C’est vrai aussi qu’en fin de journée, les parents sont épuisés par tous les efforts fournis dans le cadre de leur vie active, mais tout cela ne peut en aucun cas justifier l’abandon de leur rôle en ce domaine, qui est celui de compléter le travail des enseignants à l’école. Il y va de l’avenir de leurs enfants et de la réussite scolaire de ces derniers.
Il arrive aussi qu’un parent, aussi intentionné soit-il, craigne de ne pas pouvoir aider son enfant en ne comprenant pas la ou les matières enseignées. Il a peur de décevoir, de ne pas être à la hauteur devant son enfant, il a peur de se faire juger lors des rencontres avec les enseignants... C’est un raisonnement erroné, tout simplement parce qu’on ne lui demande pas de remplacer l’enseignant ou le professeur à la maison et d’être à la même hauteur que lui. Et le danger avec ce genre de comportement est que l’enfant très sensible devient à son tour stressé et inquiet : on le retrouve alors en train de rejeter les devoirs et d’en dénigrer l’utilité.
Il va jusqu’à perdre le goût d’apprendre ou de retourner s’asseoir avec son parent pour la période des devoirs. C’est vrai qu’il est difficile pour tous de porter plusieurs chapeaux à la fois : parent éducateur, parent psychologue, parent médecin, parent entraîneur... pour encore jouer le rôle « d’enseignant privé » à domicile. Ce n’est pas cela qui est demandé ! Ce qui est attendu du père ou de la mère, c’est de se montrer disponible, d’être une sorte « d’accompagnateur » de l’enfant dans sa réussite scolaire. Devenir « un bon parent accompagnateur », c’est simplement mettre en place une énergie positive face à cette période d’accomplissement des devoirs à la maison, en s’assurant que le climat de départ soit favorable à la consolidation des apprentissages et des nouvelles connaissances que les enfants ont reçus dans la journée. Il faut tout faire pour que l’accompagnement des devoirs se fasse dans le plaisir !
Pour cela, il est demandé au parent accompagnateur :
Être disponible physiquement et psychologiquement (faire une petite pose en rentrant à la maison après le travail, prendre contact avec les enfants de façon décontractée, avant de commencer la période des devoirs)
de mettre en place un environnement attrayant et propice aux devoirs : se mettre à l’abri des bruits et des distractions sonores et visuelles
de valoriser en tout temps le moment des devoirs et de l’apprentissage des leçons
de donner un sens aux devoirs pour que l’enfant puisse faire un lien avec la vie courante, en voir l’utilité, y voir une certaine garantie supplémentaire pour sa réussite scolaire
d’éviter devant l’enfant d’étaler ses propres connaissances sur le sujet et laisser place à la souplesse et au droit à l’erreur, face à son propre raisonnement et à son propre mode de compréhension
de faire montre de plaisir à réfléchir avec son enfant
de communiquer avec enthousiasme (attention au ton employé lors des explications... )
de ne pas essayer de faire les devoirs à la place de l’enfant !
d’observer les sources de difficultés rencontrées par l’enfant et essayer de trouver des stratégies créatives pour l’aider à trouver des solutions et à mieux comprendre (donner des exemples, comparer, retrouver les explications données en classe... )
d’éviter toute critique abusive ou stérile devant l’enfant
de cultiver la motivation. Il suffit simplement de penser à la période des devoirs comme un temps privilégié, un temps de bonheur partagé à passer avec son enfant. C’est ainsi et seulement ainsi que les parents vont remplir pleinement leur rôle de « parents responsables », conscients des enjeux de l’école qui, elle, a besoin de toute leur aide pour mieux réussir dans sa noble mission ! Que les parents soient rassurés : leurs efforts seront récompensés par l’amélioration constante des résultats scolaires de leurs enfants qui seront remarquables de trimestre en trimestre et d’année en année. A l’inverse, le laisser-faire et le manque d’intérêt de leur part seraient aussi sanctionnés par l’échec certain de leurs enfants, échec qui risque d’être irréparable !